Selon la décision de justice, la société californienne a utilisé sans autorisation des technologies permettant d’améliorer l’efficacité et la performance des processeurs utilisés dans ses iPhone et iPad.
Dans sa plainte, déposée début 2014, l'université faisait valoir que ces technologies étaient intégrées "de manière non autorisée" au processeur A7 de l'iPhone 5s, de l'iPad Air et de l'iPad mini à écran Retina sortis l'année précédente. Apple avait tenté de prouver que le brevet en question était invalide, un argument que le jury a rejeté.
Le groupe a lui-même intenté des procès pour violations de brevets contre plusieurs d'autres grands acteurs du secteur technologique, l'un des bras de fer les plus suivis est celui qui l'oppose devant la justice américaine au groupe sud-coréen Samsung, son plus gros rival sur le marché des smartphones et des tablettes.
Le montant des dommages dus par la marque à la pomme reste à déterminer mais d'après les médias américains, l'université réclamerait plus de 800 millions de dollars.
Une somme importante, mais à relativiser face aux plus de 200 milliards de dollars qu’Apple possède en trésorerie.
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